Apparue il y a moins d’une dizaine d’années, la photographie aérienne par drone s’est rapidement développée. Mais à
mesure que les appareils volants se sont considérablement simplifiés tant sur l’aspect pilotage que sur la taille, la
règlementation elle s’est endurcie. S’il était possible il y a quelques années de faire un peu n’importe quoi, n’importe où, désormais le cadre légal est posé, et il est strict !
Pour être autorisés à voler, les télépilotes de drone professionnels doivent passer une épreuve diplômante organisée par la DGAC. C’est seulement une fois ce diplôme en poche, et pas mal d’administratif plus tard, qu’il est possible de demande l’autorisation aux préfectures de réaliser un vol spécifique pour un client.
Toutes ces mesures servent à éviter les abus, mais surtout les accidents ! Une collision entre un drone et un avion pourrait avoir des conséquences désastreuses ! Pour l’entreprise qui commande des photos aériennes, il est impératif de s’assurer que le télépilote est diplômé et qu’il a fait les demandes d’autorisations nécessaires avant le vol. Vous ne monteriez pas dans un avion dont le pilote n’a pas de licence ? Eh bien, pour le drone, c’est pareil !
Le télépilote de drone, qui est aussi photographe ou vidéaste au passage, est amené à réaliser de très nombreuses sortes de prestations, pour des clients très différents.
Et ce n’est là qu’un petit résumé ! On peut faire beaucoup de choses avec un drone, et de nouveaux usages sont possibles chaque jour.
Voici par exemple une réalisation de photogrammétrie, un scan 3D, d’un batiment historique réalisé à l’aide du drone DJI Mavic Pro 2 et monté avec Agisoft Photoscan. Vous pouvez manipuler le fichier pour vous faire une idée !
Alors pour tous vos projets de photographie aérienne, n’hésitez pas à me contacter !